Pia Massard: «Nous recherchons un réseau facilitateur de rencontres et de business, et ce dans un cadre agréable et détendu.» (Photo: DR)

Pia Massard: «Nous recherchons un réseau facilitateur de rencontres et de business, et ce dans un cadre agréable et détendu.» (Photo: DR)

Le Paperjam Club accueille un nouveau membre: G-Art. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

Pia Massard. – «G-Art est une société basée à Frisange. Nous sommes spécialisés dans l’impression textile et la personnalisation de vêtements de sport. Nous concevons, fabriquons et imprimons des textiles pour les sports courants, tels que le football, le basketball, le volleyball, le cyclisme, la course à pied et beaucoup d’autres encore. Nous créons aussi des vêtements de travail/d’équipe, des vêtements personnalisés pour des occasions spéciales. Nous faisons tout de A à Z dans nos ateliers ultramodernes.

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussés à le faire?

«Nous faisons partie du tissu économique luxembourgeois depuis des années. Nous souhaitions rejoindre le Club afin d’élargir notre réseau. Être adhérents est une opportunité qui pourrait nous permettre de discuter entre dirigeants, d’élargir notre vision du marché. C’est sans doute un bon investissement et la promesse d’un carnet d’adresses élargi avec de futurs partenaires. Notre objectif est de faire connaissance avec d’autres sociétés du pays et de créer du lien grâce à vos actions de networking.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Nous recherchons un réseau facilitateur de rencontres et de business, et ce dans un cadre agréable et détendu. Cela nous permettrait de rencontrer des personnes intéressantes avec lesquelles nous pourrions nous entraider et, si besoin, échanger des idées et créer du lien. Nous pourrions proposer nos prestations très étendues. Et nous pourrions aussi partager notre réseau professionnel. Nous pourrions être pour d’autres un accélérateur de business. Ensemble, nous sommes plus forts, c’est évident.»