Le 12 octobre 2017, huit militants de Greenpeace avaient organisé un feu d’artifice après s’être introduits dans la centrale nucléaire de Cattenom.  (Photo: Greenpeace)

Le 12 octobre 2017, huit militants de Greenpeace avaient organisé un feu d’artifice après s’être introduits dans la centrale nucléaire de Cattenom.  (Photo: Greenpeace)

Huit militants et un salarié de Greenpeace sont jugés en appel devant la Cour d’appel de Metz ce mercredi après-midi. 

Le procès en appel des huit militants de Greenpeace qui s’étaient introduits il y a deux ans dans la centrale nucléaire de Cattenom a lieu ce mercredi après-midi devant la Cour d’appel de Metz.

Le 27 février 2018, le tribunal correctionnel de Thionville , ainsi qu’un salarié de Greenpeace, à des peines allant de cinq mois de prison avec sursis à deux mois ferme. Ces neuf personnes plaident notamment la relaxe.

Le 12 octobre 2017, huit militants de Greenpeace s’étaient introduits dans la centrale nucléaire de Cattenom et y avaient allumé un feu d’artifice afin de dénoncer le manque de protection des piscines d’entreposage du combustible usé des centrales nucléaires françaises et belges ainsi que les risques que ces failles de sécurité représentent face aux attaques extérieures.