Robert White est associé et chef de marché chez EY Luxembourg. (Photo: EY Luxembourg)

Robert White est associé et chef de marché chez EY Luxembourg. (Photo: EY Luxembourg)

Le nouveau règlement sur les fonds européens d’investissement à long terme, communément appelé Eltif 2.0 est entré en vigueur ce 9 avril. Delano s’est entretenu de l’impact de cette réforme avec huit personnalités du secteur. Robert White nous fait part de ses réflexions.

Dans le cadre de cette série, nous avons demandé à , associé et chef de marché chez EY Luxembourg, quel serait l’impact d’Eltif 2.0 sur le Luxembourg, en particulier sur les sociétés qui fournissent des services de fonds.

«Eltif 2.0 est la preuve tangible et démontrable que les régulateurs ont écouté l’industrie. Ils se sont activement efforcés d’aborder les facteurs limitatifs, tels que l’éligibilité des actifs, l’effet de levier ou l’accès des investisseurs, et cela constitue une étape vers la démocratisation de l’industrie.»

«L’écosystème luxembourgeois est très bien établi. Et il est très bien placé pour répondre aux besoins du secteur. Le Luxembourg est depuis longtemps le domicile de choix pour les investissements alternatifs et, en particulier, pour les actifs réels. Les résultats obtenus par le pays en matière de gestion d’actifs réels axés sur les revenus sont absolument remarquables. Je ne vois aucune autre juridiction qui possède la même gamme de compétences. Je m’attends à ce que le Luxembourg devienne le domicile de prédilection d’Eltif pour cette raison précise. Ces attributs sont directement applicables au service des Eltif.»


Lire aussi


Cet article a été publié pour la première fois dans .

Vous pouvez lire cet article en anglais sur .