Cravate ajustée ou maquillage choisi avec goût, les «new joiners» sont toujours un peu anxieux aux premières heures de leur intégration. Cette année, ils sont par exemple près de 250 à avoir été recrutés par KPMG Luxembourg, dont les 70 du service Tax ont déjà été accueillis le 1er septembre.
Mais si tous sont des nouveaux-venus, il ne s’agit pas que de profils «junior». «Il y a aussi des profils expérimentés», explique Géraldine Hassler, head of people & culture. «Les profils sont très variés, à l’image de nos métiers, afin de répondre au mieux à nos objectifs de croissance et aux besoins de nos clients. Ce que nous cherchons avant tout, ce sont des personnes qui démontrent, au-delà de leur cursus académique, des compétences interpersonnelles et des qualités telles que la curiosité, l’esprit entrepreneur, l’adaptabilité et la force de proposition. Un regard porté davantage sur le potentiel de la personne et son ancrage à notre stratégie et nos valeurs.»
Nous sommes dans un secteur d’activité où la collaboration, le travail en équipe, le relationnel et le coaching jouent un rôle primordial, et il est dès lors important de les remettre au centre d’une relation réelle et non exclusivement virtuelle.
La situation sanitaire continue à influencer l’«onboarding» des nouveaux venus. «Notre priorité est de garantir la santé et la sécurité de nos collaborateurs. C’est pourquoi nous avons réinventé notre programme d’‘onboarding’ et de formation qui s’adapte en effet à la situation sanitaire actuelle et qui répond aux nouvelles tendances, à savoir un programme ‘phygital’ qui allie le côté digital depuis le domicile et le présentiel dans un cadre innovateur à Luxembourg. Il est néanmoins essentiel pour nos nouveaux talents de rapidement nouer des contacts avec leur nouvelle équipe et d’appréhender la culture d’entreprise. En effet, nous sommes dans un secteur d’activité où la collaboration, le travail en équipe, le relationnel et le coaching jouent un rôle primordial, et il est dès lors important de les remettre au centre d’une relation réelle et non exclusivement virtuelle», conclut Géraldine Hassler.