Depuis le 1er juillet 2018, les services d’incendie et de sauvetage communaux, les unités de la Protection civile, le Service d’aide médicale urgente (Samu), le Service incendie et ambulances de la Ville de Luxembourg, ainsi que les pompiers de l’aéroport . Et un bilan intermédiaire après un an de fonctionnement avait été demandé à la Chambre.
Celui-ci a été réalisé par le même groupe d’experts consultants qui ont rédigé en 2009 la première réflexion sur la réforme des services de secours. Présenté au conseil d’administration du CGDIS, il a ensuite été transmis à la ministre (LSAP), qui l’a présenté en commission de l’intérieur.
Des délais d’intervention plus courts
Et ce premier bulletin est très bon. La réorganisation a notamment démontré son efficacité lors de catastrophes d’une certaine ampleur, comme des inondations, ou la tornade qui a ravagé .
Évidemment, certains points doivent encore être améliorés, notamment en ce qui concerne la communication, a concédé la ministre. Tandis que d’autres feront l’objet d’une adaptation constante.
La commission a souligné que le nombre de pompiers professionnels et volontaires avait augmenté, et que les délais entre les alertes et les interventions avaient diminué.