Les salariés concernés par les suppressions de postes chez Natixis sont protégés par les contreparties prévues dans le plan social. (Photo: Shutterstock)

Les salariés concernés par les suppressions de postes chez Natixis sont protégés par les contreparties prévues dans le plan social. (Photo: Shutterstock)

Des mesures de maintien dans l’emploi et d’accompagnement social et financier ont été négociées entre les syndicats et la direction de Natixis Wealth Management. Jusqu’à 33 postes pourraient être concernés.

Il aura fallu sept réunions de négociation entre la direction de Natixis Wealth Management, l’OGBL Secteur Financier et les délégués du personnel de l’OGBL, de l’ALEBA et du LCGB pour parvenir à la signature, le lundi 13 décembre, d’un plan social.

L’établissement financier français, qui fait partie du Groupe BPCE, était touché par des «résultats négatifs répétés du métier wealth», rappellent les syndicats, dans un communiqué de presse. La banque au Luxembourg a donc décidé de «réorganiser totalement ses activités», ce qui devait passer par la suppression de 26 postes sur les 97 au Luxembourg. Sylvie Reuter, secrétaire générale adjointe de l’OGBL pour le secteur financier, ajoute qu’il «se pourrait que sept personnes se rajoutent», au maximum.

Qu’ils soient 26 ou 33 dans le «pire des cas», ces salariés seront donc protégés par le plan signé. Il prévoit des mesures de maintien dans l’emploi ou d’accompagnement social et financier. L’accord contient également le paiement d’une indemnité de dédommagement, d’une autre extralégale, d’une indemnité liée aux enfants, ainsi qu’un budget de formation.