European Union flag against parliament in Brussels, Belgium. (Photo: artJazz)

European Union flag against parliament in Brussels, Belgium. (Photo: artJazz)

L’investissement vert a marqué l’actualité ces dernières semaines. L’influent groupe d’investisseurs Climate Action 100+ a écrit aux plus grands émetteurs de gaz à effet de serre au monde, les pressant de mettre en place une stratégie de neutralité climatique d’ici 2050 au plus tard.

Cette ambition se traduirait concrètement par une réduction significative des émissions globales des entreprises pour les ramener à zéro, en ce comprises les émissions du Périmètre 3 provenant de l’ensemble de la chaîne de valeur de leurs activités.

La Commission européenne a également intensifié le jeu et annoncé qu’elle allait relever son objectif de réduction des émissions à -55% d’ici 2030, contre un objectif initial de -40%.

Les obligations vertes destinées à financer des projets environnementaux pourraient être bien placées pour bénéficier de cette transition vers la décarbonation, et d’un monde qui tente de s’aligner sur l’objectif le plus ambitieux de l’Accord de Paris, à savoir limiter le réchauffement climatique à 1,5°C au-dessus des niveaux préindustriels.

Dans notre dernière publication Expert’s View, nous faisons le point sur le marché, comparons les obligations vertes et leurs homologues traditionnelles, et partageons notre point de vue sur la question du prix des obligations vertes et de la prime verte.

Sans oublier que les ETF présentent un risque de perte en capital, ainsi que d’autres risques détaillés ci-dessous.

Si vous êtes un investisseur professionnel et souhaitez en savoir plus sur la gamme de Lyxor ETF dans ce domaine, nous vous invitons à visiter .