256 entreprises ont été contraintes d’organiser de nouvelles élections. (Photo: Shutterstock)

256 entreprises ont été contraintes d’organiser de nouvelles élections. (Photo: Shutterstock)

256 entreprises, qui ne répondaient pas aux critères fixés par la loi, ont dû organiser, mardi, de nouvelles élections sociales, près de sept mois après la recomposition de la Chambre des salariés au profit de l’OGBL.

Les élections sociales, qui avaient eu lieu le 12 mars 2019, se sont poursuivies mardi 5 novembre, selon une information du .

6,8% des quelque 3.800 entreprises du pays qui comptent au moins 15 salariés et doivent désigner les membres de leur délégation du personnel ne répondent en effet pas aux critères fixés par la loi, selon les données de l’Inspection du travail et des mines (ITM).

256 entreprises ont donc été contraintes d’organiser de nouvelles élections. Le nombre de salariés concernés s’élèverait à 3.840, selon le Wort.

Si elles n’organisent pas d’élections, les entreprises concernées encourent «une amende administrative, et leur dossier sera déposé au Parquet pour d’éventuelles poursuites pénales», assure l’ITM, selon le Wort.

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Des résultats partiels seront connus dès mercredi.