Que des influenceurs(-ceuses) se voient proposer une voiture à l’essai pendant trois semaines pour publier une photo en en disant du bien, ou un sac à main ou un voyage ou un dîner dans un endroit extraordinaire, relevait du génie de la communication.
Mais la crise a dopé un autre business, . Des sociétés intermédiaires sollicitent des influenceurs pour qu’ils proposent de gagner un prix, mettons 5.000 dollars, de bienfaisance.
L’influenceur doit payer 900 dollars pour rejoindre une des 70 personnalités sur la liste de l’agence. Avec le prix, les likes et les commentaires se multiplient et l’agence peut ensuite aller voir les annonceurs pour revendiquer ces milliers de fans grâce à cette liste, seulement venus dans la perspective de remporter le prix de 5.000 dollars.
Comme ça l’agence peut facturer ses services auprès des annonceurs potentiels.
Plus de 30 millions d’Américains se sont retrouvés brutalement au chômage depuis le début de la crise. Le carburant de cette stratégie très au point.