«Quand nous avons acheté cette maison en 1988, c’était une véritable ruine», raconte Monique Becker. «Heureusement, Chris est très bricoleur et nous avons pu faire beaucoup de choses nous-mêmes et de manière progressive.»
La maison de l’artiste Monique Becker et de son mari reste de taille relativement modeste, avec de petites pièces. Mais les extérieurs permettent de passer beaucoup de temps dans le jardin et d’avoir deux beaux ateliers, espaces très importants pour leurs propriétaires. «C’est là que nous passons quasiment toutes nos journées. Moi dans mon atelier de peinture, et Chris dans son atelier de mécanique. Nous avons chacun nos passions et pouvons les vivre côte à côte sans nous gêner.»
Pour la maison, son aménagement n’a pas été un souci. «J’ai été décoratrice de boutiques pendant 15 ans», explique Monique Becker. «Créer des décors ou des lieux de vie, ça me connaît.» C’est ainsi que les pièces sont meublées avec de nombreux objets chinés ou achetés à travers l’Europe, au gré de leurs déplacements. À plusieurs endroits, on retrouve des mannequins de vitrine ou des objets ayant participé à l’activité d’anciens commerces.
Bien entendu, les murs sont tous occupés par des toiles de l’artiste, de grands formats qui recouvrent la majorité de la surface murale. «Il ne faut pas avoir peur d’accrocher de grands formats même si les murs sont petits. On a ainsi une autre proximité avec la peinture», assure Monique Becker. Partout, on trouve des livres et des bougies. Comme une extension des peintures de Monique Becker, le noir sert de fil conducteur dans l’aménagement. Il apporte de la profondeur à l’espace et un esprit très chic et sophistiqué.
Cet article a été rédigé pour l’édition magazine de , paru le 25 octobre. Le contenu du magazine est produit en exclusivité pour le magazine. Il est publié sur le site pour contribuer aux archives complètes de Paperjam.
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