Année record pour le jeu vidéo en France

Déjà en très grande forme en 2017, le secteur du jeu vidéo en France continue sur sa lancée en 2018, avec un volume d’affaires de 4,9 milliards d’euros, soit une croissance de 15% par rapport à l’année précédente.

L’industrie tire profit de la dématérialisation du marché, même si elle s’accompagne de la décroissance des ventes de supports physiques: «Pour la première fois, les éditeurs de jeux pour PlayStation, Xbox et Nintendo tirent plus de la moitié (54%) de leurs revenus en France via ces ventes numériques sur les plates-formes de téléchargement officielles.»

En outre, le marché du jeu vidéo a vu émerger un nouveau modèle, celui du «jeu en tant que service», qui permet d’accéder à des contenus additionnels ou des abonnements de type «game pass».

La collaboration «humain-robot», une source d’emploi pour le futur?

Dans les entrepôts d’Amazon circulent désormais des centaines de voitures-robots orange, déplaçant des milliers d’objets commandés auprès du géant américain du e-commerce.

Utilisés depuis fin 2018, ces robots nouvelle génération seraient capables de collaborer avec les humains et de «réduire à moins d’une heure des tâches qui prenaient avant plus d’un jour», explique Tye Brady, patron de la technologie d’Amazon Robotics.

Si, pour certains, ces robots engendreraient la perte de l’emploi pour l’homme, M. Brady, lui, est convaincu que le déploiement de robots collaboratifs est la clé de la productivité, de la croissance et des emplois du futur.

Le ciblage publicitaire pour manipuler vos proches

Avec The Spinner, start-up américaine, il est maintenant possible d’influencer vous-même vos proches avec les stratégies habituellement destinées aux professionnels du ciblage publicitaire.

Pour 29 dollars, l’entreprise vous fournit un lien contenant du code informatique (cookies) et permettant de pister le mobile d’un internaute grâce à son identifiant publicitaire.

Ensuite, The Spinner soumet à la cible, pour une durée de trois mois, une série de publicités en lien avec l’objectif sélectionné, parmi les 10 proposés par l’entreprise (suggérer une demande en mariage, arrêter de fumer, de manger de la viande…). Si, aux États-Unis, cette pratique n’est pas interdite, c’est en revanche totalement contraire au RGPD en vigueur en Europe.

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