Les «indutech» sont ces nouvelles technologies qui couvrent l’industrie 4.0, mais aussi les cleantech, ou encore la robotique et la gestion intelligente de l’énergie. (Photo: Fedil)

Les «indutech» sont ces nouvelles technologies qui couvrent l’industrie 4.0, mais aussi les cleantech, ou encore la robotique et la gestion intelligente de l’énergie. (Photo: Fedil)

La Fedil et le Paul Wurth Incub ont décidé de renforcer leurs liens, jusqu’à maintenant informels, en signant jeudi un partenariat destiné à soutenir le développement des technologies industrielles dans l’économie réelle.

Celui-ci vise à faciliter les échanges entre les start-up et leurs solutions innovantes et les membres de la Fédération des industriels luxembourgeois. L’objectif affiché par cette collaboration est «une mise en relation ciblée et rapide entre l’offre et les besoins réels», précise un communiqué.

«Via cette collaboration, la Fedil va pouvoir élargir son offre de services dans le domaine de l’innovation à ses membres du secteur industriel», précise René Winkin, le directeur de la Fedil.

Développer l’«indutech»

À l’image de la Lhoft et de son écosystème autour de la technologie financière, la Fedil et l’incubateur créé par Paul Wurth souhaitent créer les bases d’un modèle similaire, autour de ce qu’ils appellent les «indutech», ces nouvelles technologies qui couvrent l’industrie 4.0, mais aussi les cleantech, ou encore la robotique et la gestion intelligente de l’énergie.

Pour rappel, la Fedil représente 95% de l’industrie manufacturière du Luxembourg, soit 25% de l’emploi national. Créé en octobre 2016, Paul Wurth Incub accueille 11 start-up, dont Data Things, Evvos, ispace ou encore Nomoko.