La technologie RFID (pour «Radio Frequency Identification») est de plus en plus employée pour de nouvelles applications. (Photo: IdeeID)

La technologie RFID (pour «Radio Frequency Identification») est de plus en plus employée pour de nouvelles applications. (Photo: IdeeID)

Apparue il y plus d’une décennie, la technologie RFID (pour «Radio Frequency Identification») ne cesse de trouver de nouvelles applications. Elle repose sur l’utilisation de marqueurs (une étiquette collée sur un produit, un transpondeur glissé dans un container ou un emballage ou encore une puce implantée sous la peau d’un animal voire d’un être humain) qui contiennent un certain nombre de données-clés. Ces informations peuvent être lues sans contact à une distance allant de quelques centimètres à plus de 200 mètres suivant le type de puce utilisé.

La communication entre le marqueur et le lecteur s’effectue à l’aide de radiofréquences. Le lecteur envoie une onde électromagnétique qui fait réagir la puce, qui lui retourne les données qu’elle contient. Différentes plages de fréquences sont mises en œuvre selon le domaine d’application. Les basses fréquences (125KHz ou 134,2KHZ) sont ainsi privilégiées pour l’identification du bétail dans l’agriculture, les hautes fréquences (13,56 MHz) faisant le bonheur des applications logistiques et permettant notamment le suivi des colis en direct.

La technologie RFID a trouvé récemment de nouveaux débouchés. Elle sert ainsi de base au NFC («Near Field Communication»), le protocole de communication sans fil exploité pour les paiements sans contact (Apple Pay, CB, etc.).