Paperjam.lu

 

Définissez votre agence!

Aller droit à l'esssentiel, pour communiquer de façon la plus directe, ne privilégiant aucun vecteur particulier. Nous optons pour les stratégies les plus perfomantes pour atteindre les objectifs de nos clients.

Quels sont les principaux secteurs d'activité de votre clientèle? Et quelle est l'importance de la clientèle de la grande région et du marché international'

Pour le moment nous travaillons principalement pour des produits "immatériels" (services, image de marque, positionnement). Pour nous, les frontières du Luxembourg ne nous limitent pas. Nos collaborateurs communiquent en 8 langues européennes différentes: nous sommes européens par vocation. Notre marché se trouve en Europe.

S'il fallait retenir une seule de vos créations, ce serait?

Faire un choix serait injuste vis-à-vis de toutes les autres.

De nouveaux quotidiens, de nouvelles télés, Luxembourg est un pays riche en médias. Quelle est votre prévision pour le développement du secteur des médias au Luxembourg?

Pour le moment, il y a vraiment trop de médias au Luxembourg. Nous conseillons à nos clients de bien discerner avant de se lancer dans des campagnes. Nous insistons sur les techniques de communication directe pour lesquelles nous voyons un avenir certain.

Récession économique, faillites et licenciements en 2001. Est-ce qu'un climat économique défavorable, comme nous l'avons connu au deuxième semestre 2001, influence les attentes que les clients expriment par rapport à leur communication'

Les clients tiennent depuis toujours compte de l'évolution du climat économique. Parfois, ça va dans un sens, parfois dans l'autre. Ce n'est pas toujours le même sens pour tous.

L'étroitesse du marché, la rareté des marques luxembourgeoises, est-ce que la "création grand-ducale" souffre de ces spécifications nationales?

Notre marché est européen, même si, par la force des choses, nous privilégions actuellement la Grande Région.

Le plagiat, technique de communication tolérée ou à bannir?

Comme il est difficile de trouver du nouveau sous le soleil, c'est une question difficile. Il faudrait laisser la réponse aux consommateurs. Ils sont suffisamment adultes pour voir dans le plagiat manifeste une absence de créativité, de force dans le positionnement et d'éthique dans l'image de marque. Les médias pourraient prévoir une rubrique avec les plus "beaux" plagiats, comme le font différents supports de la profession.