Il faudra trouver une autre date pour entendre Jean-Claude Juncker en tant que témoin dans l’affaire des écoutes du Srel. (Photo : Maison Moderne)

Il faudra trouver une autre date pour entendre Jean-Claude Juncker en tant que témoin dans l’affaire des écoutes du Srel. (Photo : Maison Moderne)

À peine quelques heures après que Paperjam a rapporté que Jean-Claude Juncker «était disponible» pour témoigner dans le procès de l’affaire des écoutes du Srel, l’Administration judiciaire annonçait par voie de communiqué ce mardi après-midi qu’«en raison d’un empêchement imprévu, Monsieur Jean-Claude Juncker ne pourrait se présenter aux dates initialement prévues».

Par conséquent, le procès est «reporté à une date ultérieure», et les nouvelles dates des audiences seront «communiquées en temps utile».

La Commission avait en effet fait état à Paperjam d’un «va-et-vient» en ce qui concerne la date d’audience du président de la Commission européenne en tant que témoin, en sa qualité d’ancien Premier ministre, et donc responsable du Srel.

Dans un communiqué diffusé à la pressemardi soir, l’un des trois protagonistes du procès, l’ancien directeur du Srel Marco Mille, a souhaité revenir sur quelques faits, dont le limogeage dont il aurait fait l’objet, rappelant qu’il était encore fonctionnaire. M. Mille souligne son attachement à la liberté de la presse, tout en défendant une approche factuelle d’une affaire nébuleuse.