Au Luxembourg, 70 % des entreprises sont dites « familiales ». Et elles représentent 60 % du produit national brut. Cela les rend incontournables. Elles sont parfois discrètes, parfois très médiatiques. Les fratries qui en tiennent les rênes sont du même acabit, tantôt plutôt dans l’ombre, tantôt captant la lumière. Et dans tous les cas, cela confère un côté fascinant à cet ensemble.

paperJam a choisi de se pencher sur ces affaires de famille, dans la mesure où elles s’apparentent à un modèle très fort, voire structuré, à l’échelle du pays et de son tissu économique.

De manière un peu aléatoire, une bonne dizaine de ces (parfois très) jeunes entrepreneurs, appelés à prendre le relais, ont été appelés à témoigner et à s’exprimer sur leurs parcours, faits d’expériences, d’immersion totale, d’implication dans le projet, de perspectives… Et dans tous les cas, d’un profond respect pour la voie ouverte, ce qui n’empêche pas d’avoir ses propres idées pour la suite, afin de prolonger le succès au moment de la succession.

Le phénomène Bettel

À lire également dans cette édition de paperJam, une analyse du « phénomène » Xavier Bettel, le politicien en vogue du moment, à l’aube de son 40e anniversaire ; un point sur les grands chantiers d’infrastructures au Luxembourg ; le détail des enjeux liés au nouveau projet de loi sur le dialogue social ; les questions que posent gestion des faillites et failles de gestion pour les PME ; la remise en cause de la «prévisibilité » fiscale du Luxembourg ou encore le phénomène de désengagement des banques allemandes au Grand-Duché.

Dans le cahier « Management » de l’édition de février 2013 de paperJam, le dossier central est consacré au secteur de la communication. Outre tous les résultats et les images de la Media Awards Night du 20 février dernier, un large sujet est consacré aux relations entre annonceurs et agences de communication.