Le 18 février, et jusqu’au 5 novembre, les casemates du Bock rouvrent leurs portes aux visiteurs. Dès ce week-end, les curieux peuvent ainsi (re)découvrir ce labyrinthe rocheux.

Creusées par les Autrichiens en 1745 et 1746, les galeries souterraines – taillées dans le rocher du Bock – permettaient d’assurer la défense de la ville, «Gibraltar du Nord», considérée comme l’une des places fortes du monde. Avec leurs 1.110m², elles pouvaient abriter une garnison de 1.200 soldats et une cinquantaine de canons.

Après le démantèlement de 1867, une partie des casemates est détruite. Et aujourd’hui, les dédales sont réduits à quelque 17km.

Inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco, les casemates du Bock sont depuis la première attraction touristique de la capitale. En 2016, plus de 125.000 visiteurs ont parcouru les entrailles de ce rocher.  

Informations pratiques sur le site du LCTO.