Les tribunaux ont déjà fait appel aux images de l’anatomie du cerveau pour évaluer la responsabilité pénale d’un prévenu. (Photo: AdobeStock / Delphotostock)

Les tribunaux ont déjà fait appel aux images de l’anatomie du cerveau pour évaluer la responsabilité pénale d’un prévenu. (Photo: AdobeStock / Delphotostock)

«Ce n’est pas moi, c’est mon cerveau!» La justice sollicite l’avis des neurologues depuis de nombreuses années pour évaluer les préjudices chez un blessé ou la responsabilité pénale d’un prévenu.

Jusqu’ici, toutefois, les tribunaux faisaient surtout appel aux images de l’anatomie du cerveau (IRM structurelle).

Le recours aux images du fonctionnement du cerveau (IRM fonctionnelle) est plus récent. Les neuroscientifiques, psychiatres, magistrats et même le Comité consultatif national d’éthique français (CCNE) désapprouvent cette approche.

À approfondir sur le site d’informations Le Temps.