La société britannique BioTeq propose des implants digitaux entre le pouce et l’index aux entreprises et aux particuliers, permettant par exemple aux utilisateurs d’ouvrir leur porte d’entrée ou d’accéder à leur bureau. (Illustration: Shutterstock)

La société britannique BioTeq propose des implants digitaux entre le pouce et l’index aux entreprises et aux particuliers, permettant par exemple aux utilisateurs d’ouvrir leur porte d’entrée ou d’accéder à leur bureau. (Illustration: Shutterstock)

Contrôler une prothèse robotique avec l’esprit? C’est possible!

Les chercheurs espèrent qu’à l’avenir, une personne ayant perdu l’utilisation de ses membres puisse contrôler des prothèses robotiques grâce à une interface cerveau-ordinateur. Une équipe de médecins et de neuroscientifiques a publié un article à ce sujet dans la revue Nature Medicine.

Les chercheurs ont recueilli les données d’activité cérébrale d’un homme tétraplégique âgé de 27 ans à qui on avait implanté un réseau de microélectrodes dans le cerveau et les ont introduites dans une série de réseaux de neurones.

Le réseau neuronal a permis au patient de déplacer le bras robotique avec une meilleure précision et moins de retard que les systèmes existants. Le volontaire participant à l’expérience a pu saisir et manipuler trois petits objets avec la main robotique – une capacité que l’on peut facilement prendre pour acquise, mais qui échappe souvent à ceux qui dépendent de prothèses pour évoluer dans la vie quotidienne.

Implant de micropuces: le Royaume-Uni tire la sonnette d’alarme

Nous en avions parlé l’année dernière dans le HUBRADAR. Aujourd’hui, la société britannique BioTeq, qui propose des implants aux entreprises et aux particuliers, a déjà installé 150 implants au Royaume-Uni. Ces micropuces, implantées dans la chair entre le pouce et l’index, permettent aux utilisateurs d’ouvrir leur porte d’entrée, d’accéder à leur bureau ou de démarrer leur voiture avec un geste de la main et peuvent également stocker des données médicales.

Selon le Sunday Telegraph, plusieurs entreprises juridiques et financières britanniques sont en discussion pour équiper leurs employés de ces micropuces. La secrétaire général du TUC, Frances O’Grady, a déclaré: «Nous savons que les travailleurs craignent déjà que certains employeurs utilisent les technologies pour contrôler et microgérer, réduisant ainsi le droit à la vie privée de leurs employés». KPMG, l’un des quatre grands cabinets d’experts-comptables, ainsi qu’EY et PwC ont déclaré qu’ils n’envisagent pas de micropucer leurs employés. Deloitte a refusé de commenter.

8 concept-cars qui montrent à quel point la technologie sera au cœur de la conduite de demain

Les concept-cars sont un élément essentiel du paysage automobile depuis des décennies. Déjà en 1938 avec le Buick Y-Job, l’un des premiers concept-cars au monde. Mais l’innovation ne s’est pas arrêtée à la fin des années 1930. Les constructeurs présentent régulièrement des modèles futuristes.

Certains d’entre eux seront exposés au Salon de l’auto de Los Angeles, le dernier grand salon automobile international de 2018. CNBC a examiné certains des véhicules conceptuels les plus intéressants aujourd’hui, ainsi que la technologie et les fonctionnalités qui les aident à se démarquer.

Contrôle d’empreinte digitale et capteurs biométriques de reconnaissance faciale pour ouvrir les portes, affichage de réalité augmentée, feux arrière qui indiquent l’intensité de freinage aux autres conducteurs, un assistant numérique capable d’interpréter l’état émotionnel du conducteur, et même un concept de voiture volante: la technologie est réellement au cœur de la voiture de demain.

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