Éviter de tomber dans la connotation péjorative avec le nom «École de la deuxième chance», c’est l’objectif principal du projet de loi 7301. Il a été adopté avec les voix des députés de la majorité gouvernementale, de Déi Lénk et de l’ADR (37 oui); les députés du CSV se sont abstenus (23 abstentions). 

Le nouveau nom, qui a été proposé par l’école elle-même, est «École nationale pour adultes».

Créée en 2009, quelque 1.200 apprenants ont depuis suivi l’offre pédagogique de l’École de la deuxième chance.

Au fil des années, le concept a évolué, et l’École ne se limite plus uniquement à «donner une seconde chance» aux personnes ayant dépassé l’âge de la scolarisation obligatoire, mais il a été complété par des formations dans le cadre de l’éducation des adultes, tout comme par des formations continues pour adultes.

D’autres médias ont indiqué que la structure même de l’école pourrait déménager à Mamer.