Des leading ladies en couverture de Paperjam1, disponible dès jeudi dans les kiosques. (Photos: Maison Moderne Studio)

Des leading ladies en couverture de Paperjam1, disponible dès jeudi dans les kiosques. (Photos: Maison Moderne Studio)

De nombreuses cheffes d’entreprise n’ont pas attendu l’imposition des quotas pour se hisser à des postes à responsabilité. Le business de demain sera-t-il féminin? Comment le nouveau gouvernement aborde-t-il la question?

Dans la continuité de la Journée internationale des droits de la femme, l’édition de Paperjam1 s’intéresse à ces «leading ladies», ces femmes dirigeantes d’entreprise qui, sans revendiquer un réel «leadership au féminin», n’en plaident pas moins pour une plus grande diversité de profils, de caractères et de compétences.

Leading ladies, Paperjam1, avril 2015

Ce qui n’empêche pas les idées de quotas de refaire surface. «Les quotas sont ingrats et polarisants, mais cela reste l’instrument le plus efficace qu’on ait trouvé. Beaucoup sont contre, mais personne n’a mieux», constate Lydia Mutsch, la ministre de l’Égalité des chances.

Dans les établissements publics et les entreprises dans lesquelles l’État détient des participations, la représentation des femmes est en progrès, comme le montrent des chiffres exclusifs compilés par Paperjam. Mais il reste encore de nombreux efforts à faire.

Gaston Reinesch en interview

Interview exclusive de Gaston Reinesch

À lire également dans cette édition d’avril de Paperjam1 une interview, exclusive elle aussi, de Gaston Reinesch, le directeur général de la Banque centrale du Luxembourg, qui revient sur les dangers que constitue la sous-capitalisation de la BCL; une plongée dans la problématique des lanceurs d’alerte, dans le sillage des affaires LuxLeaks et SwissLeaks; un retour sur les Journées de l’économie, avec l’idée d’une Université 2.0; un portrait de Sodrugestvo, géant de l’agroalimentaire désormais bien implanté au Luxembourg; la stratégie de redécollage de Luxair, dont l’annonce du renouvellement de la flotte n’est qu’un élément; un retour sur le rapport Artuso sur la spoliation des biens juifs pendant la Seconde Guerre mondiale et le rôle des autorités de l’époque ou encore une approche pédagogique de la notion de «transfer pricing».

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