Parmi les acteurs qui doivent combattre les préjugés et favoriser un accès des femmes aux postes décisionnels dans les entreprises et institutions, les médias ont certainement un rôle prédominant à jouer. Paperjam a décidé d’assumer le sien en mettant en avant trois responsables féminines actives dans des secteurs d’activité totalement différents. Et ce en prélude à la Journée internationale des femmes, le 8 mars.

Si elles reconnaissent volontiers se mettre moins en avant que les hommes, les trois interlocutrices présentées dans ce magazine daté de mars 2018 ont joué le jeu. Sans langue de bois. Anne-Catherine Ries coordonne le navire Digital Lëtzebuerg en mode collectif. Cette cellule aux ressorts transversaux s’appuie néanmoins sur la vision de sa directrice pour que le Luxembourg épouse véritablement son ambition digitale.

Son aventure, elle l’a construite d’elle-même. Dotée de la fibre entrepreneuriale familiale, elle a néanmoins choisi un chemin de traverse en devenant épicière il y a plus de 35 ans. Christianne Wickler assume non seulement ses choix au sein de sa famille, mais également dans un secteur de la grande distribution où les indépendants deviennent rares.

Catherine Larue fait partie des hauts profils, des «cerveaux» que le Luxembourg a été capable d’attirer dans le cadre de sa stratégie de diversification économique. Chercheur de haut vol, disposant d’une expérience dans le privé et le public, la CEO de l’IBBL fait évoluer l’institut vers une référence internationale.

Les sœurs Claudie et Stéphanie Grisius, fondatrices de la griffe Vol(t)age, et Carole Muller, CEO de Fischer, nous ont, quant à elles, ouvert les portes de leur univers pour un reportage photo conduit par Romain Gamba.

En outre, un condensé de l’actualité de la politique, des entreprises, de la place financière et de l’économie vous emmènera notamment dans les installations de Lactalis au Luxembourg.

Le private banking qui se recycle

Paperjam Plus est consacré cette fois au private banking.

Le supplément du magazine examine comment l’un des piliers de la Place recycle ses contraintes, du réglementaire à la révolution technologique, pour en faire des opportunités.

Yves Maas, président de l’ABBL, partage, quant à lui, son bilan après quatre ans à la tête de l’association sectorielle.