Paul Helminger, le président du conseil d’administration de Cargolux, rappelle qu’en 2017 la demande de fret aérien a été plus élevée que l’offre de transport. (Photo: paperJam.lu)

Paul Helminger, le président du conseil d’administration de Cargolux, rappelle qu’en 2017 la demande de fret aérien a été plus élevée que l’offre de transport. (Photo: paperJam.lu)

Plus d’un million de tonnes transportées, une part du marché mondial de 4% et un premier trimestre 2018 qui s’inscrit dans la continuité d’une année 2017 record: les dirigeants de Cargolux avaient des étoiles dans les yeux lors de la présentation des résultats annuels devant la presse mercredi. Paul Helminger revient sur les leviers qui ont permis une si belle croissance.

Monsieur Helminger, quels ont été les ressorts qui ont permis à Cargolux d’enregistrer en 2017 un profit de plus de 100 millions d’euros, alors qu’un an plus tôt, celui-ci avait atteint seulement 4,5 millions d’euros?

2017 a été pour Cargolux une année chargé en termes de partenariats, notamment en Chine avec l’aéroport de Zhengzhou qui est devenu l’un de vos hubs pour la Chine continentale. Ces accords ont-ils pesé dans vos résultats?

Cargolux a annoncé la construction d’un nouveau siège. Les travaux ont débuté en octobre. Qu’en est-il aujourd’hui?

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