Le cadre et la carte ont été revisités pour mieux coller à l’air du temps. (Photo: DR)

Le cadre et la carte ont été revisités pour mieux coller à l’air du temps. (Photo: DR)

«On sentait que ça ronronnait trop et on voulait marquer les esprits», justifie Nicolas Szele, le fils de la famille, qui partage les fourneaux avec son père Gérard.

Le cadre a été revisité pour mieux coller à l’air du temps et apporter plus de jeunesse: grand tableau noir, graffitis, tables et chaises dans un style plus urbain et industriel… 

Mais c’est le nouveau nom qui surprend le plus: Beta. Il s’agit bien sûr de la lettre grecque, deuxième de l’alphabet. Hommage à la deuxième génération et à ce deuxième concept.

La carte a également été repensée avec, le midi, la promesse d’un repas pris en 45 minutes. 

Le soir, on passe à des propositions plus élaborées. Si les classiques – cordon-bleu, trilogie de thon, entrecôte – demeurent («il y aurait une révolution si on les enlève de la carte»), l’évolution est notoire avec de nettes influences asiatiques et exotiques.

Tout porte à croire que la nouvelle génération est à pied d’œuvre sans pour autant rejeter l’ancienne: Gérard et Pucky sont toujours là et semblent heureux de se laisser bousculer par Nicolas et Pauline.

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