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Dans le classement Twitter des politiques du pays, réalisé en collaboration avec le cabinet Clément & Weyer, ce n’est pas au top du podium qu’on voit du changement. Le député CSV connaît bien Twitter et sait comment maintenir sa première place de mois en mois.

Heureusement, pour créer un peu de suspens dans la suite du classement, certains font des bonds de haut en bas ou de bas en haut. C’est le cas de François Bausch qui grimpe de 4 places, en 3e position. Sur sa page vendredi dernier, il y a une info qu’on ne loupe pas: les tests de wifi dans les trains. Retweetée de L’Essentiel, du Wort, du Tageblatt et aussi… de Paperjam.

Deux places plus bas, c’est Pierre Gramegna qui remonte avec la même progression de 4 places. Il nous emmène avec lui en visite de travail à New York.

À l’inverse de ses deux bonds en avant, le député Alex Bodry plonge en limite du classement, avec une régression de 6 places. Ce dernier s’intéresse au sort de la langue luxembourgeoise, au niveau national avant le niveau européen! Une langue dont il faudrait sans doute avant tout formaliser l'écriture...

Méthodologie: le classement du baromètre est déterminé par le «leader index», qui est la moyenne des positions dans deux classements: par nombre de followers sur Twitter et par taux d’engagement. Ce dernier résulte du nombre total d’interactions avec les utilisateurs (favorites + retweets), divisé par le nombre d’abonnés. Si deux ou plusieurs comptes affichent le même leader index, ils sont triés suivant le taux d’engagement.