Armand Biberich était directeur de la SNCT depuis janvier 2012, après en avoir été directeur adjoint depuis 2000. (Photo: Maison Moderne/archives)

Armand Biberich était directeur de la SNCT depuis janvier 2012, après en avoir été directeur adjoint depuis 2000. (Photo: Maison Moderne/archives)

La restructuration interne en cours au sein de la SNCT, en lien avec la libéralisation du secteur du contrôle technique, va avoir des conséquences concrètes puisque selon la radio 100.7, Armand Biberich a démissionné. Celui qui était directeur depuis janvier 2012 aurait fait part de cette «décision personnelle» début novembre, selon les propos tenus par Josiane Pauly, présidente du conseil d’administration de la SNCT, auprès de nos confrères.

Ces derniers indiquent par ailleurs qu’avant ce départ, la réorganisation interne avait abouti à une répartition différente des responsabilités puisque la SNCT était dirigée non pas par le seul directeur, mais par un comité de direction où siégeait Armand Biberich, aux côtés du directeur financier et du directeur technique. Selon Josiane Pauly, la SNCT recherche désormais un profil plus axé sur la gestion des ressources humaines pour compléter le comité de direction en place. Armand Biberich, lui, était en poste depuis janvier 2012 après avoir été directeur adjoint entre 2000 et 2012.

Cette décision intervient alors que Dekra, leader européen du contrôle technique en Europe, assure vouloir être actif au Luxembourg «en 2017». En janvier 2016, quelques semaines avant la perte officielle de son monopole survenue le 1er février, la SNCT assurait qu’elle comptait «organiser ses services pour encore mieux répondre aux besoins divergents en matière de contrôle technique» et «poursuivre très activement sa politique orientée vers la proximité de ses services».