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 Photo: POST Luxembourg

Rapidement étendue à de nombreux secteurs d’activité, cette technologie fait partie des grandes tendances IT de ces deux dernières années. Au-delà de la phase d’expérimentation, de nombreuses entreprises cherchent déjà à proposer de nouveaux cas d’utilisation, que ce soient dans le secteur des finances, de l’assurance, de l’internet des objets ou pour suivre des produits dans une chaîne logistique.

Bien souvent, ces initiatives se retrouvent toutefois confrontées à des problématiques complexes, assez éloignées des motivations d’origine de la création des blockchains publiques.

Des problématiques spécifiques

Notons qu’il faut distinguer deux sortes de blockchains : les blockchains publiques qui sont ouvertes à tous et les blockchains privées qui sont limitées à un certain nombre d’acteurs connus et authentifiés.

Les blockchains ont été conçues pour permettre à leurs utilisateurs d’échanger de la valeur ou de l’information sur internet, en toute transparence et sans organe de contrôle. En conséquence, sur les blockchains publiques, toutes les informations sont accessibles par tous les participants du réseau. Cela pose évidemment des problèmes lorsque des données sensibles (données personnelles, confidentielles) doivent être échangées entre les intervenants. Même si les blockchains privées peuvent en partie pallier à cette problématique de confidentialité, au sein d’un tel réseau privé, tous les acteurs ne sont pas prêts à partager certaines de leurs informations avec les autres utilisateurs.

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