«On ne peut pas dire si nous finirons en octobre. Sinon, nous le ferons en novembre», a ainsi expliqué Jean-Claude Juncker. (Photo: Alexandros Michailidis / Shutterstock)

«On ne peut pas dire si nous finirons en octobre. Sinon, nous le ferons en novembre», a ainsi expliqué Jean-Claude Juncker. (Photo: Alexandros Michailidis / Shutterstock)

Après un sommet informel organisé à Salzbourg le 20 septembre dernier, qualifié d’«humiliation» pour Theresa May par plusieurs médias britanniques, où la Première ministre du Royaume-Uni était appelée à revoir sa copie, Jean-Claude Juncker verrait, lui, une issue aux discussions sur le Brexit avant la fin de l’année.

Le président de la Commission européenne a en effet annoncé, dans une interview publiée ce week-end dans le quotidien autrichien Der Standard, qu’il a «des raisons de penser que le potentiel de rapprochement entre les deux parties a augmenté ces derniers jours. Mais on ne peut pas dire si nous finirons en octobre. Sinon, nous le ferons en novembre», comme le rapportent plusieurs agences de presse.

Michel Barnier, négociateur en chef de l’Union européenne pour le Brexit, avait déjà annoncé le 18 septembre dernier que le «moment de vérité» approchait. Une nouvelle réunion des 27 est prévue le 17 octobre prochain à Bruxelles. Pour rappel, le Brexit, soit le départ du Royaume-Uni de l’Union européenne, est prévu pour le 29 mars 2019.