L'avocat Jacques Elvinger est un habitué de l'ING Night Marathon. (Photo: DR)

L'avocat Jacques Elvinger est un habitué de l'ING Night Marathon. (Photo: DR)

Au sein du cabinet d’avocats Elvinger, Hoss & Prussen, des cours de running sont organisés sur le temps de midi pour le personnel. Mais pour Jacques Elvinger, partner, les horaires fixes sont trop contraignants. Lui, ce qu’il aime dans la course à pied, c’est justement son côté flexible. «C’est un sport qu’on pratique quand et où on veut. Si vous décidez de partir pour une heure, vous vous préparez et vous y allez. C’est moins contraignant que le tennis ou le golf.» Et lorsqu’il se déplace à l’étranger, il glisse toujours une paire de chaussures, un t-shirt et un short dans son bagage, ce qui n’est pas non plus trop exigeant et permet de découvrir de nouveaux horizons.

Un sport qu'on pratique où et quand on veut.

Jacques Elvinger, avocat

«En moyenne, je cours deux fois par semaine, entre 1h et 1h30 par séance. Plutôt le soir ou le week-end», explique-t-il. Pour l’ING Night Marathon, où il s’est inscrit pour le «semi», il a augmenté le rythme d’une séance supplémentaire au cours des trois dernières semaines. «Et pendant la dernière semaine, je surveille un peu plus mon alimentation», note-t-il.

Âgé de 56 ans, Jacques Elvinger s’est mis à la course à pied il y a une dizaine d’années. «J’avais ressenti un besoin de faire de l’exercice.» Peu féru de compétition, il se contente de l’ING Night Marathon, un rendez-vous quasi annuel, et de la «Route du vin», un autre semi-marathon le long de la Moselle. Cette année, il ne se donne pas d’objectif chronométré, son but étant de courir avec ses deux filles.

Ce qui le motive, c’est avant tout de pouvoir courir en pleine nature. Il dit avoir essayé les tapis de course en salle de sport, mais est vite revenu sur les routes et chemins. «Je cours dans la campagne près de mon domicile et je parviens encore à trouver de nouveaux chemins.» Ce qui est aussi un des plaisirs de ce sport.