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 (Photo: Maison Moderne Studio)

Dans son édition d’avril, à paraître ce jeudi, paperJam s’intéresse à la Grande Région, cette entité économique informelle qui constitue pourtant le quotidien de centaines de milliers de travailleurs chaque jour. Corinne Cahen, la nouvelle ministre compétente en la matière, y voit de nombreuses opportunités de développement.

L’ancien président français Charles de Gaulle aurait pu, comme pour l’Onu, la qualifier de «machin». La Grande Région, réalité au quotidien pour des centaines de milliers de travailleurs, n’a par ailleurs aucune existence juridique. La grande randonnée a ses sentiers. La Grande Région a ses chantiers… Et cela fait des années que ça dure... Coquille vide, fruit d’un façonnage purement théorique pour certains; vrai marché, laboratoire de l’Europe pour d’autres: la Grande Région se cherche encore une identité forte.

Dans son édition d’avril, à paraître ce jeudi, le magazine économique et financier paperJam se penche sur cette grande région, notamment au travers du regard de Corinne Cahen toute nouvelle ministre à la Grande Région, qui a repris en mains un portefeuille créé spécialement en 2009.

Charles Ewert, Romain Bausch, les sukuks…

«Notre ligne de conduite est d’agir pour le bénéfice général des territoires en dépassant les intérêts nationaux ou régionaux», explique-t-elle, dans un contexte où le le Luxembourg est, au reste, le seul des quatre États concernés, à dédier un ministère à cette entité géographique couvrant une partie de la Wallonie et de la Lorraine française et les deux Länder allemands, Sarre et Rhénanie-Palatinat.

Il en est aussi le seul territoire souverain, ce qui lui confère, évidemment, un rôle, même informel, de locomotive et de générateur d’impulsions.

À lire également dans cette édition d’avril de paperJam un gros plan sur le Sud du pays, en plein renouveau avec l’avènement de deux nouveaux bourgmestres pour les deux plus grandes villes de la région, Esch-sur-Alzette et Differdange; une plongée au sein du «système» Charles Ewert, en marge de son procès; les coulisses de la crise d’entreprise chez Ketterthill; une page qui se tourne chez SES avec le départ de son dirigeant historique, Romain Bausch; ou encore la présentation détaillée du tout premier emprunt islamique que le Luxembourg s’apprête à lancer, sur fond de transactions immobilières.

 

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