Ancien président de la SNCI, du comité de direction de l'Arbed et de SES, Georges Schmit rejoint désormais le comité consultatif de Spaceresources.lu. (Photo: Licence C.C.)

Ancien président de la SNCI, du comité de direction de l'Arbed et de SES, Georges Schmit rejoint désormais le comité consultatif de Spaceresources.lu. (Photo: Licence C.C.)

Alors qu’il était question de la venue d’un troisième expert spatial, a priori en provenance d’un pays asiatique, un nom a déjà filtré ce jeudi, celui de Georges Schmit, ancien président de la SNCI. Et ce, à la veille de la tenue de la première réunion du board, composé officiellement de Jean-Jacques Dordain et Simon «Pete» Worden, aux commandes précédemment de l’Agence spatiale européenne et du centre de recherche Ames de la Nasa. L'annonce de la venue à bord d'un nouvel expert international sera effectuée demain durant une conférence de presse organisée fin d'après-midi, en présence du Premier ministre.

Selon le communiqué officiel, publié jeudi, l’actuel consul général et directeur exécutif du Luxembourg Trade & Investment office de San Francisco doit mettre à profit du projet son expertise «dans le commerce et l’investissement, l’innovation et la promotion des start-up, le développement économique et le monde de l’entreprise». Autrement dit, un profil moins technique dans le domaine spatial que ses deux confrères, mais plus orienté vers la recherche de sociétés capables d’intégrer l’initiative luxembourgeoise, destinée à exploiter les ressources des astéroïdes.

Georges Schmit quittera cet été les fonctions qu'il occupait à San Fransisco depuis 2009, étant admis à une retraite qui sera pour le moins active.

Indiquant être «honoré de continuer à servir le gouvernement luxembourgeois dans ses efforts pour positionner le Luxembourg comme un endroit idéal pour des projets innovants dans les technologies spatiales de pointe», Georges Schmit assure que Spaceresources.lu doit «amener l’Humanité vers de nouveaux horizons inexplorés et créer de nouvelles opportunités sur Terre».