L'économiste luxembourgeois Guy Kirsch, interviewé dans l'édition Paperjam d'avril, propose une réforme atypique...  (Photos: Maison Moderne)

L'économiste luxembourgeois Guy Kirsch, interviewé dans l'édition Paperjam d'avril, propose une réforme atypique...  (Photos: Maison Moderne)

En gestation depuis un moment, la réforme fiscale promise par le gouvernement commence à prendre corps. Fin février, à peine deux mois avant le discours sur l’état de la Nation que prononcera Xavier Bettel le 26 avril, les premiers éléments concrets de cette réforme ont été dévoilés.

L’édition d’avril de Paperjam, à paraître ce jeudi, revient sur le détail de ces annonces et donne la parole à une vingtaine de décideurs, fiscalistes, hommes politiques, syndicalistes ou étudiants, leur demandant d’exposer leurs propres propositions de réforme.

 

Avec, en point d’orgue, l‘interview de l’économiste luxembourgeois Guy Kirsch, qui ne s’est pas fait que des amis en proposant un système de répartition des richesses se basant sur une taxation du droit de succession à… 100%. Il s’en explique.

Également dans cette édition, l’interview de Pascale Toussing, au cœur de sa présidence du Conseil économique et social, sur fond de maintien d’un dialogue social toujours délicat à négocier.

Le magazine se penche par ailleurs sur les avancées du pays en matière de diversification économique; sur la situation un peu compliquée d’ArcelorMittal, obligé de subir une augmentation de capital pour amortir le choc de la chute du cours boursier et de la concurrence de plus en plus vive de la Chine; et sur les ambitions de Philippe Masset, CEO par intérim de Banque Degroof Luxembourg, alors que se finalise, au Grand-Duché, la fusion avec Petercam.

Comme chaque mois, Paperjam est accompagné d’un supplément. Ce mois-ci, il est dédié au tourisme d’affaires, également appelé Mice (Meetings, incentives, conferencing, exhibitions). On y découvre «l’autre paradis» que représente le Luxembourg en la matière, au travers de ses infrastructures et des professionnels qui ont permis de bien positionner le Grand-Duché sur la carte des organisateurs d’événements internationaux.