Ed Goedert  (Photo: David Laurent / archives)

Ed Goedert  (Photo: David Laurent / archives)

Ma vertu préférée: La franchise sans trop de diplomatie, même si cela ne plaît souvent pas lors des discussions.

Mon principal défaut: En matière de business, je suis trop impatient. Dans ma vie privée, je ne m’occupe pas assez de mes petits-enfants (je leur fais la promesse de tout faire pour y remédier).

Mon occupation préférée: En matière de business, être créatif. Dans le privé, continuer à découvrir tous les coins de l’Europe, de préférence en moto.

Les trois forces que doit avoir un bon entrepreneur: Être un visionnaire, être courageux et respecter les hommes.

Mon premier salaire: 18.000 Francs luxembourgeois, en 1973 au Garage Jean Muller.

Mon coup de maître en affaires: La création du concept Autopolis.

La qualité que je préfère chez un homme: L’intégrité.

La qualité que je préfère chez une femme: Je ne peux parler que d’une femme, ma femme depuis 40 ans, et donc la clairvoyance.

Ce que j'apprécie le plus chez mes amis: Je suis très sélectif; me sentir à l’aise avec eux et pouvoir parler de tout.

Mes héros/héroïnes dans la fiction: Je n'en ai pas.

Mes héros/héroïnes dans la vie réelle: Comme j’aime les sports mécaniques, je dirais Jim Clark, Bruce McLaren et Juan Manuel Fangio.

Mes héros/héroïnes dans l’Histoire: De Gaulle et Martin Luther King, bien qu'ils soient très différents.

Le don de la nature que je voudrais avoir: Résister à l’homme.

Les fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence: Je ne sais pas.

Les fautes impardonnables: Ne pas décider.

Mon rêve de bonheur: Vivre longtemps avec ma femme, être tous deux en bonne santé et jouir de la vie de (grande) famille.

Quel serait mon plus grand malheur? Être atteint d’une maladie incurable ou qu'un membre de ma famille le soit.

Ce que je voudrais que l’on dise de moi dans 50 ans: C’était un homme qui savait toujours ce qu’il voulait et qui a encore pu réaliser ses rêves.

Si je n’étais pas ce que je suis, je voudrais être: Avocat.

Ma devise: «No Passion. No Value.»