Les résultats de 
la première vague 2016 de l’étude Plurimedia menée par TNS Ilres viennent d’être livrés ce mercredi. Leur publication permet de situer les audiences et le positionnement des principaux médias luxembourgeois.
Cette étude est désormais publiée deux fois par an et conduite selon une nouvelle méthodologie, prenant en compte chaque fois deux vagues d’un semestre. Les audiences dévoilées ce mercredi sont issues d’un sondage mené auprès d’un échantillon de 4.148 personnes (3.038 par téléphone, 1.110 par internet), représentatif de la population résidente.
Alors que la mesure d’audience des titres de presse se base sur l’univers des personnes âgées de 15 ans et plus, les résultats des autres médias concernent les personnes âgées de 12 ans et plus.
L’enquête s’est déroulée de début février à fin mai 2015 et de mi-septembre 2015 à fin janvier 2016.
+11% pour Paperjam
À la lecture des résultats, Maison Moderne, société éditrice de Paperjam, se félicite de la progression de 11% du mensuel qui atteint désormais 51.600 lecteurs résidents pour chaque numéro, soit une pénétration de 11% sur la population des résidents.
Il est à préciser que l’étude Plurimedia ne tient toujours pas compte des 172.000 frontaliers, soit de 42% de la population active.
«À défaut d’une étude d’audience qui intègre les frontaliers, nous ne pouvons qu’estimer le lectorat global de Paperjam», déclare Mike Koedinger, fondateur et CEO de Maison Moderne. «En restant prudent, on peut indiquer qu’un lecteur sur quatre serait un frontalier. Chaque Paperjam serait donc lu par 68.800 personnes, résidents et frontaliers confondus.»
Quant au lectorat total, c’est-à-dire l’ensemble des lecteurs uniques comptabilisés sur trois mois, on passe à 73.900 lecteurs résidents, soit 100.000 lecteurs frontaliers compris.
«Cette vague d’audience donne une première indication sur la nouvelle formule de Paperjam, lancée en décembre dernier, et visiblement déjà appréciée des lecteurs», ajoute Mike Koedinger. «Cette nouvelle mouture a fait l’objet d’un récent sondage via Paperjam.lu et dont les résultats se sont aussi révélés plus qu’encourageants.»
14.000 lecteurs pour Paperjam.lu
Le site internet Paperjam.lu, qui effectuait justement son entrée dans le sondage Plurimedia lors de la dernière vague, confirme sa position de référence dans le secteur B2B et passe à 14.000 lecteurs résidents, soit 18.500 lecteurs quotidiens frontaliers compris.
«Le site Paperjam et sa newsletter biquotidienne envoyée à 8 et 16 heures à plus de 23.000 abonnés se sont vraiment installés comme un réflexe pour de très nombreux décideurs au Luxembourg», ajoute Mike Koedinger. «Les scores d’audience donnent à Paperjam.lu le 2e meilleur score parmi les sites d’actualité 100% francophones et le meilleur score sur la cible des décideurs.»
Un double effet City
Maison Moderne coédite avec la Ville de Luxembourg le mensuel officiel de la capitale: City.
Publié sous une nouvelle formule depuis janvier 2016, c’est donc sous l’ancienne version (encore dénommée «City Magazine») que le magazine a été jugé par les sondés. Le mensuel passe ainsi de 38.000 à 39.000 lecteurs résidents par numéro.
«Il sera intéressant de suivre l’évolution du lectorat d’ici à la fin de l’année», ajoute Mike Koedinger. «La nouvelle formule de City a en effet plus que doublé son tirage en passant de 35.000 à 72.000 exemplaires distribués en toutes-boîtes dans la capitale.»
Stabilisation de Flydoscope
Flydoscope, autre magazine coédité avec le partenaire de longue date qu’est Luxair, stabilise son lectorat à 41.700 résidents par numéro.
Seuls ces derniers sont pris en compte pour l’analyse de l’audience d’un magazine qui touche 1,2 million de passagers qui empruntent chaque année l’une des lignes de la compagnie aérienne nationale.
«Au vu des résultats de cette 11e édition de l’étude Plurimedia, Maison Moderne est confortée dans le développement de ses médias propres, marqués par une volonté d’innovation, de remise en question et d’accompagnement de la modernisation du pays», ajoute Mike Koedinger. «Nous ne pouvons que nous réjouir de la tendance positive observée sur les titres que nous coéditons aussi pour le compte de nos clients et qui reçoivent régulièrement des récompenses à l’international.»