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 (Photo: Maison Moderne Studio)

Le mot «diversification» fait partie des grands classiques répétés à l’envi par les gouvernants de tous bords depuis quelques années. C’est à ce thème que paperJam2 a choisi de consacrer le dossier central de son édition de juin à paraître ce mercredi.

Partant du principe qu’il n’est jamais très bon de mettre tous ses œufs dans le même panier, les gouvernements luxembourgeois qui se sont succédé ont toujours cherché à se prémunir contre le danger potentiel d’un secteur économique «trop» fort: la sidérurgie hier, la place financière aujourd’hui.

Déjà en 2009, la logistique, les technologies de la santé, les bio- et éco-technologies, l’e-commerce et les technologies de la communication avaient été clairement identifiés comme les domaines d’avenir sur lesquels les efforts de prospection et de diversification doivent être menés. Le nouveau gouvernement, en place depuis fin 2013, n’a pas, en la matière, bouleversé la tendance, maintenant une politique de développement et de diversification selon une stratégie dite de «multi-spécialisation».

«Il faut mener une politique plus volontariste afin d’attirer les investisseurs au Luxembourg», prévient néanmoins Jean-Paul Schuler, le directeur général de Luxinnovation.

À retrouver également dans paperJam2 les habituels rendez-vous «métiers» dédiés au management, au «business administration», aux ressources humaines, à l’ICT et au marketing-communication, ainsi que les rubriques devenues traditionnelles: «Office Life», qui nous emmène, ce mois-ci, au sein du cabinet de conseil fiscal Atoz; le Droit du travail, qui évoque le licenciement et la démission avec préavis; le Droit des entreprises, qui traite des procédures collectives ou encore «Dress Code» qui aborde la thématique du Friday Wear.