Kevin Mersch, Nilson Kufus et Vincent Pedrini, les 3 cofondateurs de Nomoko. (Photo: Microtis)

Kevin Mersch, Nilson Kufus et Vincent Pedrini, les 3 cofondateurs de Nomoko. (Photo: Microtis)

Vincent Pedrini, vous êtes l’un des trois fondateurs de Nomoko. Comment avez-vous constaté que la digitalisation devenait nécessaire pour gérer vos ressources humaines?

Il faut savoir que chacun des trois fondateurs de Nomoko a pris en charge un des aspects de la société: Kevin s’occupe de la technologie, Nilson du produit, et moi-même des aspects financiers et RH. Personnellement, j’ai donc été rapidement confronté au besoin de gérer de manière plus efficace notre volet RH. En effet, étant donné que nous avons rapidement compté 25 employés, et que nous sommes installés dans deux pays, un nombre important de démarches assez basiques au niveau de la gestion des ressources humaines devenaient difficiles à gérer. Les demandes de congé, par exemple, étaient envoyées par mail. La gestion des heures de travail des employés n’était pas non plus évidente. J’utilisais de simples tableurs Excel pour compiler tout ça. Il y avait donc un risque que je laisse passer un mail, que j’oublie une demande de congé, etc. En outre, avec l’évolution de Nomoko, je n’avais plus le temps de gérer tout ça «manuellement». Il fallait trouver une solution, et la mise en place d’un outil digital pour gérer les RH représentait une véritable plus-value.

Quels étaient les principaux enjeux relatifs à la digitalisation de la fonction RH?

La première chose que nous souhaitions était d’avoir un outil permettant aux employés de gérer eux-mêmes leurs demandes de congé. Ensuite, comme nous sommes installés en Suisse, nous sommes tenus d’utiliser des timesheets. Ce n’est sans doute pas quelque chose que nous aurions mis en place volontairement mais, comme il s’agit d’une obligation légale dans ce pays, nous n’avions pas vraiment le choix. En adoptant une solution digitale souple pour suivre le temps de travail de nos employés, nous avons pu nous conformer à cette obligation, sans pour autant «surveiller» notre personnel, ce qui est à cent lieues de l’atmosphère que nous souhaitons installer dans l’entreprise. L’outil a aussi l’avantage de nous donner la possibilité d’évaluer le temps que nous passons sur certains projets particuliers, ce qui est évidemment intéressant pour une jeune société comme la nôtre. Si nous avons choisi les solutions Gesper Timesheet et Gesper Personnel de Microtis, c’est précisément pour cette souplesse, ainsi que pour la proximité qu’offrent leurs équipes pour adapter leur outil à nos besoins. Sans oublier le fait que ces outils digitaux fonctionnent à travers le cloud, ce qui nous permet d’y accéder depuis nos bureaux basés dans trois pays différents.

Comment pourriez-vous résumer les atouts de la digitalisation des ressources humaines que vous avez opérée?

Tout d’abord, plus qu’un atout, il s’agit d’une vraie nécessité pour une société qui veut grandir vite, en augmentant rapidement son nombre d’employés. Cela laisse du temps pour se concentrer sur d’autres tâches, sans doute plus essentielles au développement de l’entreprise. Ensuite, je crois que l’outil digital de gestion du personnel que nous avons adopté a l’intérêt de responsabiliser les employés: ils ont toutes les informations utiles à leur disposition – contrat de travail, etc. – et ce sont eux qui gèrent eux-mêmes leur temps, leurs demandes de congé, etc. Enfin, il s’agit de solutions qui sécurisent tout de même bien plus les données personnelles liées aux employés. De manière générale, je pense qu’il va devenir de plus en plus difficile de gérer ses ressources humaines sans faire appel à des outils digitaux performants qui automatisent une partie du travail de gestion RH.

 

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