La reconnaissance faciale permet de retirer de l’argent sans avoir à taper son code au préalable. Toutefois, plusieurs mesures de sécurité sont à appliquer. (Photo: Shutterstock)

La reconnaissance faciale permet de retirer de l’argent sans avoir à taper son code au préalable. Toutefois, plusieurs mesures de sécurité sont à appliquer. (Photo: Shutterstock)

Les distributeurs de billets à reconnaissance faciale débarquent en Espagne

Le groupe bancaire espagnol Caixabank propose depuis le 14 février à Barcelone des distributeurs de billets munis de la reconnaissance faciale. Près de vingt machines proposent ainsi ce dispositif, qui reconnaît plus 16.000 points sur l’ensemble du visage, grâce à une caméra intégrée.

L’identification permet de retirer la somme sans avoir à composer son code. Il faut toutefois introduire, dans un premier temps, sa carte ou la présenter via son smartphone. Sécurité supplémentaire, il est demandé au client de «donner un signe de vie», afin d’éviter qu’une photographie puisse duper la vigilance du système.

Selon une étude commandée par Caixabank, ses clients seraient à 70% favorables à l’usage de cette technologie, malgré les interrogations et les défis de sécurité qu’elle suscite.

Les jobs du clic, plus de 250.000 microtravailleurs en France

Un groupe de chercheurs de Télécom ParisTech, du CNRS et de la MSH Paris-Saclay vient de publier une étude afin de quantifier ces travailleurs invisibles du numérique.»

Leur tâches, «souvent répétitives et peu qualifiées, consistent, par exemple, à identifier ou nommer des objets sur des images, transcrire des factures, traduire des morceaux de texte, modérer des contenus (comme des vidéos), trier ou classer des photographies, répondre à des sondages en ligne», détaillent les chercheurs.

En outre, plusieurs catégories sont distinguées, les microtravailleurs «très actifs», les «réguliers» et les «occasionnels». Pour estimer le phénomène en France, les chercheurs ont pris en compte des chiffres déclarés par les plates-formes, ont posté des offres de tâches sur celles-ci, et ont mesuré l’audience de ces plates-formes.

Barneys lance une boutique d’accessoires haut de gamme dédiée au cannabis

Une boutique d’accessoires luxueux autour du cannabis va bientôt ouvrir à Beverly Hills, en Californie, un État où l’usage récréatif de la substance est autorisé.

C’est Barneys, le grand (et très chic) magasin new-yorkais, qui est à l’origine de l’initiative du nom de High End, un jeu de mot autour du sens de l’adjectif «high» qui peut signifier «drogué» en anglais, et de l’expression «high end» qui signifie haut de gamme.

Et de fait, les prix pratiqués sont clairement dans le haut du panier, pouvant facilement atteindre les 1.000 dollars. On compte désormais 25 pays occidentaux qui ont légalisé le cannabis, et de grandes entreprises comme Heineken admettent s’intéresser à un marché susceptible de peser 50 milliards de dollars en 2026, selon Cowen & Co.

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