La coverstory de Paperjam revient sur les réflexions en cours autour des participations de l'État et de leur intégration dans une véritable stratégie. (Photos: Maison Moderne)

La coverstory de Paperjam revient sur les réflexions en cours autour des participations de l'État et de leur intégration dans une véritable stratégie. (Photos: Maison Moderne)

Le sujet a suscité un grand intérêt à la sortie du Paperjam de mai 2013. La rédaction a choisi de se pencher à nouveau sur le contrôle – total ou partiel – d’entreprises par l’État luxembourgeois, autrement dit le rôle de l’État dans l’économie nationale via son important portefeuille de participations.

Le timing de cette coverstory n’est pas dû au hasard, puisque la manière dont l’État gère ses participations (en direct ou via la SNCI principalement) fait actuellement l’objet d’une réflexion, comme l’a annoncé dernièrement le ministre de l’Économie Étienne Schneider. Ouvrir ce portefeuille au grand public? S’inspirer des méthodes des venture capitalists? Vendre tout ou partie des participations? Les questions et les pistes de réflexion ne manquent pas. Paperjam les passe en revue.

À l’écoute de la société qui bouge

Le grand entretien de cette édition est consacré à Aline Muller, la nouvelle directrice du Luxembourg Institute of Socio-Economic Research (Liser). Elle partage sa vision pour l’institut et son rôle dans le débat entourant les changements sociétaux. L’un de ces changements – et non des moindres: la robotique, abordée dans un bavardage très animé entre l’eurodéputée Mady Delvaux et le directeur de la Fedil, René Winkin.

Paperjam vous propose aussi – entre autres – de vous plonger dans la galaxie d’un entrepreneur aussi envié qu’énigmatique: Gerard Lopez. Enquête sur les coulisses d’un amateur de sport qui en a fait, pour partie, son business.

Le Mice sur tous les terrains

Le supplément d’avril est consacré au Mice, pour meetings, incentives, conventions and exhibitions. Le focus est cette fois effectué sur l’aspect «incentives», les événements organisés par les entreprises, à destination de leurs employés ou clients.

Tendance en vogue ces derniers mois, l’usage du sport comme vecteur de communication et prétexte pour l’organisation d’événements fait l’objet d’un focus dans un supplément qui fait aussi la part belle aux témoignages d’acteurs du secteur.