Daniel Schneider (Tenzing Partners) est aussi membre du conseil d'administration de Maison Moderne, éditeur de paperJam. (Photo: archives paperJam)

Daniel Schneider (Tenzing Partners) est aussi membre du conseil d'administration de Maison Moderne, éditeur de paperJam. (Photo: archives paperJam)

Mes vertus préférées: La franchise et l'esprit de vouloir sans cesse entreprendre.

Mon principal défaut: L'impatience.

Mon occupation préférée: Mes enfants.

Les trois forces que doit avoir un bon entrepreneur: La persévérance, avoir une vision claire des choses, et aimer son travail.

Mon premier salaire: 12.000 livres sterling par an. Il a été revu à la hausse après trois mois.

Mon coup de maître en affaires: Un investissement avec un rôle actif dans une petite start-up dans la télémédecine qui, par la suite, est devenu un des fleurons en bourse. Le prochain, je pense, est encore à venir.

La qualité que je préfère chez un homme: Outre l'échange de qualité, l'honnêteté.

La qualité que je préfère chez une femme: Outre l'échange de qualité, le fait qu'elle soit un pôle tranquille.

Ce que j'apprécie le plus chez mes amis: Leur franchise, et leur présence quand il le faut.

Mes héros/héroïnes dans la fiction: Jonathan. C'est un Européen qui voyage à travers l'Himalaya. Son parcours le fait de traverser le Tibet occupé, rencontrer de nombreux personnages. Les aventures de Jonathan sont marquées par des sujets à la fois liés à l'amour, l'amitié, la politique, l'esthétique qu'au spirituel. Aussi, il pratique le ski, la moto. Il aime lire et rigoler.

Mes héros/héroïnes dans la vie réelle: D'abord mon père. Ensuite, mon premier head of trading pour m'avoir montré les «tricks of the trade». Et enfin, Alan Greenspan, dans les bonnes années.

Mes héros/héroïnes dans l'Histoire: Toute personne qui a œuvré pour la paix.

Le don de la nature que je voudrais avoir: Obtenir un penalty à la 90e minute pour marquer le but décisif (mais c'est peine perdue, je crois).

Les fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence: Celles commises par inadvertance.

Les fautes impardonnables: Celles commises avec vice, avec l'intention de nuire. Mais également, la résistance au changement. Surtout quand les problèmes sont clairement identifiés et qu'on sait qu'un statu quo ne peut mener que droit dans le mur.

Mon rêve de bonheur: Rester en bonne santé pour pouvoir voir mes enfants grandir et évoluer.

Quel serait mon plus grand malheur? Qu'il arrive un accident grave à quelqu'un de mon proche entourage.

Ce que je voudrais que l'on dise de moi dans 50 ans: Il n'a jamais abandonné.

Si je n'étais pas ce que je suis, je voudrais être: Je suis extrêmement content de ce que je fais. Mais autrement, j'aimerais être orfèvre, écrire des bandes dessinées, avoir un magasin ou encore un atelier de vélos.

Mes devises: «It's all about people» et «Changer les mentalités pour les générations futures».