Céline Coubray (Maison Moderne), Francine Closener, Désirée Nosbusch et France Clarinval (Maison Moderne) à la soirée Celebrating du 13 décembre dernier. (Photo: Maison Moderne)

Céline Coubray (Maison Moderne), Francine Closener, Désirée Nosbusch et France Clarinval (Maison Moderne) à la soirée Celebrating du 13 décembre dernier. (Photo: Maison Moderne)

Qu’ils soient actifs en politique, dans le secteur bancaire ou concepteurs d’un nouveau modèle d’affaires, tous ont un point commun: le Luxembourg. Originaires du pays, résidents étrangers ou frontaliers, ils ont choisi le Grand-Duché comme port d’attache professionnel. Certains sont arrivés par hasard, le temps d’une mission et ne sont jamais repartis. Ces femmes et ces hommes mis à l’honneur tout au long de l’année par les différents médias de Maison Moderne, dont Paperjam, sont plus que des travailleurs ou des acteurs de la société civile, ils représentent autant d’ambassadeurs pour le pays.

Durant ces derniers mois, c’est une photographie non scientifique, mais prise avec le filtre du terrain qui a été faite du pays par ces témoignages qui retranscrivent le vécu du quotidien, des moments de fierté, mais aussi la perception qu’ils reçoivent du Luxembourg via leurs contacts à l’étranger. Si d’aucuns voient dans les témoignages ou dans cette opération une bienveillance ou un positivisme excessifs, la participation de ceux qui sont devenus, pour Maison Moderne, des ambassadeurs du pays a le mérite de refléter le potentiel des forces en présence lorsqu’elles sont combinées. Ce qui a déjà permis au Luxembourg de se réinventer, ou plutôt d’être réinventé, doit à nouveau être mis à profit, tant les défis ne manqueront pas en 2018.

Certains sont récurrents comme la situation du marché immobilier ou la mobilité. Tous nécessiteront courage et vision politique à moyen et long termes, dans un contexte marqué de plus en plus par la tentation de l’instantanéité.

Un des enjeux majeurs pour le Luxembourg sera, plus que jamais, d’attirer les personnes nécessaires à sa croissance, fût-elle quantitative ou qualitative. Oui le Luxembourg a besoin d’ambassadeurs pour, sans angélisme, rétablir quelques vérités et convaincre les talents dans les secteurs d’avenir. Cette édition de Paperjam reflète cet état d’esprit en faveur de l’évolution et donc de la modernisation du pays qui devra se poursuivre en 2018. Une nouvelle année que nous vous souhaitons à la hauteur de vos ambitions et de vos projets personnels.