Ce prix est parallèle à la sélection du Top 10 ou du Top 50. (Photo: Etienne Delorme/archive)

Ce prix est parallèle à la sélection du Top 10 ou du Top 50. (Photo: Etienne Delorme/archive)

Dans le cadre du Grand Prix paperJam Communication, Marketing, Design 2011, TNS-Ilres décernera un prix spécial «Impact Grand Public». Les agences peuvent encore soumettre des projets cette semaine. Résultat des courses, le 17 février.

Vincent Ruck, pourquoi remettre un prix spécial «Impact Grand Public»?

«Le principe de tous les Grands Prix paperJam est de promouvoir un projet… Autrement dit la rencontre entre un client, un fournisseur et un besoin. C’est cette réponse, ponctuelle, qui est récompensée. Cela peut être une campagne publicitaire, mais également du packaging, de l’événementiel, une stratégie marketing… Le jury se penchera, pour le Top 10, sur la créativité, la pertinence de la réponse, la valeur ajoutée.

Le principe de l’impact grand public est un peu différent. Bien sûr, si l’impact est marquant, c’est que la réponse fournie est pertinente. La campagne qui recevra ce prix le recevra, d’une certaine manière, de la main des consommateurs! Ils diront: «Elle, je m’en suis souvenu, elle m’a marquée, elle a été efficace!»

Comment le choix de la campagne va-t-il être fait?

«Ce sont les consommateurs qui vont décider du gagnant. Notre partenaire TNS-Ilres va procéder à une étude, via un panel de consommateurs, pour mesurer l’impact des campagnes soumises… Ce prix est parallèle à la sélection du Top 10 ou du Top 50. Il est attribué sur des critères différents. C’est la raison pour laquelle nous proposons aux agences de soumettre des projets qu’ils n’ont pas présentés au concours, ou qui n’ont pas forcément été retenus dans le Top 50.

Donc les agences peuvent encore proposer des campagnes, même si elles n’ont pas été sélectionnées dans le Top 50?

«Oui, bien sûr… Elles doivent simplement nous envoyer leur matériel avant la fin de la semaine. Je précise qu’il peut s’agir de campagnes print, mais également des campagnes radio, TV, cinéma ou web… Le tout est qu’il s’agisse de campagnes "grand public".»