Bsit travaille avec une dizaine d’entreprises au Luxembourg, dont Alter Domus et SGG. (Photo: LaLa La Photo / archives)

Bsit travaille avec une dizaine d’entreprises au Luxembourg, dont Alter Domus et SGG. (Photo: LaLa La Photo / archives)

Lancée fin 2015, Bsit est déjà une entreprise internationale. La jeune pousse a repris le modèle des plateformes collaboratives pour l’adapter à la garde d’enfants. Sur son application, parents et baby-sitters sont mis en relation sur la base de recommandations d’amis et de proches, eux-mêmes utilisateurs.

La start-up compte à l’heure actuelle 220.000 membres dans sa communauté, dont une partie au Luxembourg. L’accès à l’application est facturé entre 6,45 euros et 9,99 euros par mois.

Déjà présente au Grand-Duché, en France et aux Pays-Bas, la start-up a réussi en début d’année sa seconde levée de fonds auprès d’investisseurs privés, dont Sambrinvest, une société de capital-risque belge qui a participé à elle seule à hauteur de 500.000 euros, sur 1,4 million d’euros au total.

Viser les entreprises

«Grâce à cette levée de fonds, nous pouvons renforcer notre équipe commerciale», a précisé dans un communiqué Nicolas Bruyns, head of business development de Bsit. «L’objectif est de tripler l’activité B2B en France et au Luxembourg d’ici la fin de l’année.»

En parallèle à son offre grand public, Bsit propose en effet un service spécialement conçu pour les entreprises. Au Luxembourg, elle travaille avec une dizaine de sociétés, parmi lesquelles Alter Domus et SGG.

«Aujourd’hui, nous savons que le sujet de la garde d’enfants est important, être parent ne signifie pas oublier les sorties en couple. L’idée est également d’aider les entreprises en simplifiant la vie de leurs employés qui peinent à faire garder leurs enfants», ajoute Dimitri De Boose, le cofondateur et CEO de Bsit.