Yves Maas, président de l'Association des banques et banquiers Luxembourg, évoque les enjeux du secteur bancaire et la Place dans son ensemble. (Photo: Maison Moderne Studio)

Yves Maas, président de l'Association des banques et banquiers Luxembourg, évoque les enjeux du secteur bancaire et la Place dans son ensemble. (Photo: Maison Moderne Studio)

De l'avis de tous, le secteur bancaire est à la croisée des chemins. Avec l'entrée en vigueur du système d'échange automatique des données depuis le 1er janvier et la disparition définitive, de fait, du secret bancaire, la Place doit, plus que jamais, se réinventer et faire valoir son savoir-faire indéniable. Un processus qui, pour la plupart des acteurs, est déjà bien engagé depuis quelque temps, mais nécessite encore moult ressources et déploiements d'énergie.

C'est le constat que dresse le dossier «Place financière/Banques» de l'édition de février de Paperjam2, à paraître ce jeudi.

Sur le terrain, les acteurs affichent une confiance inébranlable que résume Yves Maas, le président de l'ABBL: «Les perspectives d'avenir sont positives, à condition de capitaliser les efforts de promotion et de développement des compétences. Si nous continuons à faire de bonnes choses telles qu'investir dans le secteur, le promouvoir, développer les compétences des employés, et en tenant compte des atouts que représente le passeport européen, mais aussi la stabilité du pays et de la force de son écosystème, je suis persuadé que nous serons capables de faire venir plus de business au Luxembourg.»

Le dossier de Paperjam2 se penche également sur la banque de demain. Une banque où le numérique aura sans nul doute une place prépondérante, ce qui incite les entités, dès aujourd'hui, à réfléchir aux façons de servir au mieux une clientèle toujours plus «connectée» et dont la sensibilité vis-à-vis de l'agence bancaire «traditionnelle» est tout autre.

Le Top 100 en photos

À lire également dans cette édition de janvier de Paperjam2, les traditionnelles interviews et les analyses dans les métiers du management, du business administration, du marketing et de la communication, des RH, de l'ICT et du real estate. On y retrouve notamment des interviews de Roland Ludwig, le CEO de Cetrel et de Paul Marchesin, le DRH du groupe Saint-Paul.

David Everard, responsable communication & marketing du Verkéiersverbond occupe ce mois l'interview dédiée aux métiers de la communication.

À retrouver aussi, les rubriques «Mon argent» (qui détaille comment établir un plan d'investissement), «Droit du travail» (qui évoque l'égalité hommes-femmes) et «Droit des entreprises» (consacrée aux possibilités d'investissements extérieurs), ainsi que toutes les informations relatives aux activités passées et futures du Paperjam Club. Paperjam2 consacre notamment deux pages de photos à la soirée événement Top 100 qui s'est déroulée en décembre dernier.

Supplément auto

Avec cette édition de février de Paperjam2 est également publié un supplément spécial dédié à l'automobile, alors que se profile l'édition 2015 de l'Autofestival, 51e du nom. Le ministre du Développement durable et des Infrastructures, François Bausch, y explique notamment la place que doit prendre la voiture dans la politique de mobilité générale du pays. Ce supplément propose également une galerie de photos de voitures de rêve et ouvre ses colonnes au designer automobile Sacha Lakic, à qui l'on doit l'esquisse qui sert de support à la couverture.