La convention collective avait été dénoncée par la direction en décembre 2012.  (Photo: DR)

La convention collective avait été dénoncée par la direction en décembre 2012.  (Photo: DR)

Pendant que, sur le devant de la scène, ArcelorMittal se réjouit de renforcer les liens de coopération qui l’unit au Centre de recherche public Henri Tudor, en coulisse, les relations entre syndicats et direction n’ont pas la même teneur.

Ce mardi, une réunion s’est tenue afin de trouver, enfin, un accord sur les modalités de renouvellement de la convention collective, , alors que les discussions traînent depuis le début de l’année, suite à la décision du groupe – le 15 décembre 2012 – de dénoncer la convention collective en vigueur.

Selon RTL, le point d’achoppement a été la proposition faite par la direction de la suppression – pour des raisons de productivité – de neuf jours de congés, assortie d’une compensation financière partielle.

Si d’ici à la fin de la semaine un accord n’est pas trouvé, une procédure de conciliation devant l’Office national du même nom sera alors lancée. Les syndicats réfléchissent, de leur côté, à un mouvement social qui toucherait l’ensemble des six sites du groupe au Luxembourg.