Amazon devient un géant de la pub grâce aux données de ses clients
En France, fin 2016, ce ne sont pas moins de 21 millions de visiteurs uniques par mois qui se sont connectés au site d’Amazon. Le géant de l’e-commerce s’est lancé dans la publicité avec Amazon Media Group, il y a deux ans. Si Facebook et Google détiennent les deux tiers du marché publicitaire online français, ils sont loin de posséder les données transactionnelles et loguées d’Amazon. 40% des visiteurs du site Amazon sont des acheteurs! L’e-commerçant permet aux agences et annonceurs d’utiliser sa donnée transactionnelle au sein de son propre inventaire mais aussi d’autres ad-exchanges. Si la DSP d’Amazon est encore perfectible avec des formats proposés encore trop basiques, il semble que l’acteur mise de plus en plus sur ses activités publicitaires: en décembre, Amazon a annoncé une offre de référencement payant sur son moteur de recherche.
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La course pour les voitures autonomes est finie. La Silicon Valley a perdu.
Google, Apple et Uber, qui avaient l’intention de se lancer dans la construction des voitures autonomes, ont appris que le marché automobile de la production de masse est plus complexe qu’il n’y paraît. Les grands industriels de l’automobile ont ainsi occupé le terrain de la voiture autonome grâce à leur expérience qui leur a permis de remporter la course. Cependant, si la Silicon Valley ne construira pas les voitures autonomes, elle pourrait bien mettre la main sur les données de leurs futurs conducteurs. En effet, ces données représentent un nouveau marché qui demande peu d’investissements pour les start-up spécialistes de l’intelligence artificielle, mais qui promettrait des marges jusqu’à 90%, selon l’article. McKinsey estime entre 450 et 750 milliards de dollars la valeur du marché de ces datas en 2030, de quoi intensifier les rapports de force entre, d’une part, les industriels et, de l’autre, la Silicon Valley.
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Lukas Renlund est un artiste qui crée des photographies virtuelles en mouvement. Exposer ses œuvres requiert donc des écrans, un matériel encombrant. Pour pallier ce problème, il a utilisé un nouveau système. Des petites balises sont disposées sur les murs de la galerie. Ensuite, il suffit pour le visiteur de télécharger l’application MoPho qui permet de scanner la balise via bluetooth, et il accède à l’œuvre directement sur l’écran de son smartphone. Une nouvelle façon de visiter une expo, l’avenir nous dira si les visiteurs adhèrent...
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