Cette année, Fit4Start élargit son programme d’accélération aux start-up actives dans le domaine des technologies de la santé. (Photo: LaLa La Photo / archives)

Cette année, Fit4Start élargit son programme d’accélération aux start-up actives dans le domaine des technologies de la santé. (Photo: LaLa La Photo / archives)

226 candidatures, 62 pitchs et 15 start-up sélectionnées… Le programme d’accélération de start-up de Luxinnovation prend de l’ampleur. L’agence gouvernementale a dévoilé les détails de la septième édition de Fit4Start dans un communiqué publié vendredi.

On y apprend que sur les quelque 220 candidatures reçues, 188 proviennent de start-up activent dans le secteur de l’ICT et 38 dans celui des technologies de la santé. Pour la première fois depuis son lancement, en 2016, Fit4Start accueillera en effet cinq jeunes pousses développant des solutions dans ce domaine, défini comme prioritaire pour la diversification économique du pays.

La santé fait son entrée

Cette nouveauté fera passer de 10 à 15 le nombre de start-up retenues dans la sélection finale. Comme pour la session de ce printemps, le choix définitif des start-up participantes se fera lors d’une session de pitchs qui réunira les 62 entrepreneurs désormais en lice, mais dont les noms sont pour l'instant gardés secret. Celle-ci aura lieu au complexe Kinepolis de Kirchberg le 4 octobre et sera ouverte au public, mais seulement sur inscription.

Le jury du programme dévoilera le soir même le nom des 15 lauréats, alors que les start-up qui ont participé à la sixième édition de Fit4Start et réussi le programme se verront remettre leur diplôme.

Pour rappel, Fit4Start s’adresse aux start-up early stage et se compose d’un programme de coaching intensif de quatre mois et d’un hébergement à l’incubateur du Technoport, ainsi qu’une prime de 50.000 euros. À cette dernière peut s’ajouter une subvention de 100.000 euros pour les participants qui atteignent les objectifs qui leur sont fixés en début d’exercice et qui réussissent à lever au moins 50.000 euros de fonds privés.