Le 29 juin prochain se tiendra l’événement «Neuroscience for Business & Leadership» à Luxembourg, au sein de l’Alvisse Parc Hotel. Une journée de conférences organisée par , dont l’objectif est de venir en aide aux entreprises qui ont un besoin d’évolution. Plusieurs scientifiques prendront la parole, dont Mag. bakk. sci. pth. Khashayar Pazooki, à l’initiative de l’événement.
Cette discipline scientifique permet d’agir sur tout ce qui est soft skills dans l’entreprise: amélioration du management, du leadership, des ressources humaines, le développement de produits, ou même l’amélioration des ventes. Le neuroscientifique Khashayar Pazooki maîtrise le sujet, puisqu’il intervient dans les entreprises du monde entier, mais aussi à Luxembourg, pour aider au développement de celles-ci.
«Notre approche, c’est une approche individualisée et personnalisée en fonction des besoins de la société. Je ne travaille pas dans un département en particulier, même si c’est celui-ci qui pose problème, mais bien sûr l’ensemble de l’entreprise. Sinon, ce serait l’exclure, alors qu’il y a peut-être un problème de communication, d’intégration... On commence donc d’abord par analyser l’ensemble de l’entreprise en tenant compte des spécificités de chaque travailleur», explique Khashayar Pazooki.
La neuroscience pour résoudre les conflits
À grand renfort de tests psychométriques, assessments scientifiques, ou même électroencéphalogrammes, l’équipe va tenter de déterminer face à quel problème elle se trouve et dans quelle proportion. Ils vont ensuite réaliser un plan d’action personnalisé en collaboration avec le management. Bien loin des coaches et de leur approche parfois approximative, Psylux a développé des tests et apprentissages pour répondre à toutes les problématiques que peut rencontrer une entreprise.
Tous les grands leaders doivent comprendre que s’ils donnent les outils et entraînements nécessaires à leurs employés, il n’y aura jamais de problèmes dans l’entreprise.
Pour que cela fonctionne, il faut toutefois que les leaders adhèrent au projet et à l’envie d’évoluer. Ce qui n’est pas toujours simple.
«Le manager, pour moi, c’est le plus grand problème. On dit souvent que le poisson pue de la tête... Je le dis alors que je suis moi-même CEO. Tous les grands leaders doivent comprendre que s’ils donnent les outils et entraînements nécessaires à leurs employés, il n’y aura jamais de problèmes dans l’entreprise. Soit ils comprennent qu’il faut travailler avec les employés, soit ils sont rigides, et le problème restera», explique le scientifique.
Ce sont ces outils et apprentissages qui seront présentés lors de la journée de conférences du 29 juin prochain. Plusieurs intervenants viendront étoffer le propos: de CDCL; Robert Schaus de chez Presta Gaz et Presta Cylinders; Prof. Dr. Kai-Markus Müller de la Furtwangen University; Antonio Mesquida; et de Nekton Group HK.