La mise en place de la Fédération luxembourgeoise des startups se poursuit, avec une première série de 17 questions et le choix de son futur conseil d’administration. (Photo: Shutterstock)

La mise en place de la Fédération luxembourgeoise des startups se poursuit, avec une première série de 17 questions et le choix de son futur conseil d’administration. (Photo: Shutterstock)

Jérôme Grandidier poursuit la mise en place de la Fédération luxembourgeoise des startups. Comme il l’avait annoncé, il vient d’envoyer 17 premières questions à ses membres... et neuf candidats au conseil d’administration, pour cinq places.

Petit à petit, la Fédération luxembourgeoise des startups fait son nid.

Le président de Luxfactory, , à l’origine de cette initiative, a adressé une première série de 17 questions à 152 membres de la jeune fédération.

L’écosystème financier luxembourgeois est-il assez fort? Êtes-vous pour que la CSSF adopte une position favorable aux ICO pour en faire le hub européen? Êtes-vous favorable à une loi de la deuxième chance pour permettre aux entrepreneurs d’obtenir automatiquement une deuxième autorisation de commerce après une faillite non frauduleuse?

Les membres ont jusqu’à dimanche pour voter, et ceux qui voudraient rejoindre la FLSU peuvent le faire jusqu’à vendredi pour avoir l’occasion de se prononcer sur ce qui constituera le corps des futures prises de position vis-à-vis des autorités de la Place.

Les membres doivent aussi choisir cinq membres pour le conseil d’administration, sur neuf candidats: Antoine Hron (Klin, ), Johnny Lagneau (Warrigal Innovation Studio), Pascal Lucchese (Atis Network), Olivier Macaigne (CloudSmart), (March Senior Consult-Ethics), Giovanni Patri (Phoenici), Christophe Reffay (RCI), Martin Schoonbroodt (Probiotic Group) et Philippe Wesquet (Idiag).