«Le Luxembourg a en pourcentage de sa population le plus de migrants derrière deux pays d’arrivées, la Grèce et l’Espagne. Chez nous aussi il y a de la misère, à laquelle la coalition Gambia ne semble pas s’intéresser.» Son post commence comme ça.
Sur Facebook, la présidente des Femmes de l’ADR, Sylvie Mischel, ajoute une série de thématiques, comme le logement social, les émissions de CO2 ou encore l’eau ou l’électricité dont va avoir besoin Google pour son data center à Bissen.
Mais surtout, la photo qui accompagne son commentaire montre le ministre des Affaires étrangères, (LSAP), entouré d’une trentaine de réfugiés des camps de Libye, d’Érythrée, du Soudan et de Somalie qui ont récemment obtenu le droit à une protection internationale au Luxembourg.
Le président du parti, , a pris ses distances avec ce post sur RTL ce week-end, affirmant vouloir en parler à la principale intéressée, ainsi qu’à et , cette semaine.
Mme Mischel est par ailleurs un des cinq vice-présidents de l’ADR.
Un peu plus tard, , à l’occasion d’un comité exécutif, sans quoi il démissionnerait.
que l’«ADR ressemblait de plus en plus à une AfD luxembourgeoise», en référence au parti allemand d’extrême droite lancé en 2013.