Alors que la ministre de la Famille, de l’Intégration et à la Grande Région Corinne Cahen (DP) avait demandé à Xavier Bettel (DP) que soit saisi le comité d’éthique pour statuer sur son respect du code de déontologie du gouvernement, le Premier ministre a accédé à sa demande.  (Photo: Matic Zorman / Archives)

Alors que la ministre de la Famille, de l’Intégration et à la Grande Région Corinne Cahen (DP) avait demandé à Xavier Bettel (DP) que soit saisi le comité d’éthique pour statuer sur son respect du code de déontologie du gouvernement, le Premier ministre a accédé à sa demande.  (Photo: Matic Zorman / Archives)

Le Premier ministre a saisi le comité d’éthique, qui devrait se réunir la semaine prochaine.

Alors que la ministre de la Famille, de l’Intégration et à la Grande Région (DP) avait demandé à (DP), via un courrier daté du 11 novembre, pour statuer sur son respect du code de déontologie du gouvernement, le Premier ministre a accédé à sa demande, selon le Wort. Le comité d’éthique devrait se réunir la semaine prochaine.

Xavier Bettel a demandé à Colette Flesch (DP), Romain Schintgen et Marie-Josée Jacobs (CSV), les trois membres du conseil d’éthique, de statuer sur «l’affaire Corinne Cahen». Ils doivent déterminer si la ministre de la Famille avait le droit , à l’Union commerciale de la Ville de Luxembourg (UCVL) en tant que propriétaire de l’entreprise familiale Chaussures Léon, mais avec l’adresse électronique ministérielle.

L’opposition mobilisée

Le mail portait sur le manque de communication et autres actions de promotion pour aider les commerces de l’avenue de la Liberté (où est situé Chaussures Léon) le temps des travaux nécessaires à la mise en place du tram qui entravent leurs accès. Avec des répercussions sur le chiffre d’affaires.

À travers cette saisine, il s’agit de savoir si l’envoi d’un mail de la sorte constitue un conflit d’intérêts.

Dans une réponse parlementaire publiée le 5 novembre, Xavier Bettel avait estimé que les règles du code de déontologie n’avaient pas été bafouées. Face à la polémique naissante, pour faire état de leur étonnement à la lecture de la réponse du chef du gouvernement.